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Le vieux journal

Lee Seung-U revient en France avec cette fois-ci, non pas un roman, mais pour la première fois un recueil de nouvelles. Même les plus grands auteurs semblent porter un intérêt à l’écriture de récits courts, genre très populaire en Corée. Autobiographie, fiction, Lee Seung-U a choisi de dresser ici une frontière nébuleuse entre ces deux catégories.

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Ma vie dans la supérette

KIM Ae-ran, fugue ou variation, comment échapper au dérapage fatal ? Quatre nouvelles rassemblées sous ce titre, qui poursuivent le chemin narratif de l’auteure comme déroulant le fil dans un long labyrinthe. Sauf que le labyrinthe semble sans issue, hormis en rêve. Qu’en est-il donc de ce nouveau sort que nous jette Kim Ae-ran?

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Bus errant

Recueil de nouvelles venant compléter La bibliothèque des instruments de musique, Bus errant nous emmène sur les traces de quatre protagonistes haut-en-couleur, détournant les codes et les sons d’une société à laquelle ils n’échappent pourtant pas.

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La voleuse de fraises

Après Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps?, Eun Hee-kyung nous revient, toujours dans la catégorie Micro-fictions chez Decrescenzo Editeurs, avec La voleuse de fraises. Auteure appréciée par le public français, les œuvres d’Eun Hee-kyung sont très attendues par ses lecteurs. Avec ce nouveau recueil, leur patience est récompensée.

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Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps ?

Dans ce nouveau recueil, Eun Hee-kyung, auteure fétiche de Keul madang, poursuit son chemin d’exploration minutieuse et sans détours de l’âme coréenne contemporaine. Ces trois micro-fictions sont un miroir où la société coréenne se reflète en variations multiples, pour nous révéler finalement la décomposition avancée d’un modèle sociétal d’inspiration confucianiste qui a fait son temps.

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LES CERISIERS DU JAPON

Sur la Corée du début du vingtième siècle, peu a été publié. La littérature coréenne traduite en français préfère habituellement les œuvres (pour ne pas dire les romans) qui à partir des années 60 interpellent la société contemporaine. On trouve bien sûr quelques recueils, notamment de poésie — on pense à Yi sang ou Kim Sowol — et des récits de voyage, dont certains, non sans une certaine littérarité, plongent le lecteur dans un sentiment mêlé de joie, de tendresse, voire de mélancolie.

Séoul, vite, vite! Anthologie de nouvelles coréennes contemporaines, traduites par KIM Jeong-yeon et Suzanne Salinas
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Séoul, vite ! vite !

Séoul, vite, vite ! À la simple énonciation du titre, on ne peut empêcher un petit acquiescement de la tête, un signe pour affirmer que cet intitulé est en parfait adéquation avec la mégapole d’aujourd’hui. Séoul, une ville qui ne nous laisse d’autres choix que de nous laisser emprisonner dans ce tourbillon détruisant tout sur son passage et qui, semble ne jamais perdre de sa puissance.

Un train pour Séoul, de ROH Kyeong-shik, traduit par HAN Yumi et Hervé Péjaudier, éditions IMAGO
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Un train pour séoul

La division de la Corée le long du 38ème parallèle aura apporté son lot de souffrances aux familles déchirées de part et d’autre de la frontière. Lorsque dans les années 80, les premières émissions de télévision lancent un appel au parent perdu et diffusent les retrouvailles d’un couple séparé depuis près de 40 ans, un choc émotionnel s’empare du pays.