VIVRE LA CORÉE
Non, cet ouvrage n’est pas un nouveau guide touristique que la récente mise en avant de la Corée du Sud aurait fait fleurir. Le guide s’appelle Vivre la Corée, et porte pour sous-titre « Le guide pratique de la vie en Corée du sud »
WOO-LEE ET MOI
La couverture, d’abord : une adolescente, raide comme un piquet et la moitié du visage mangée par ses lunettes, fixe le lecteur. Son identité nous est inconnue : s’agit-il de Woo-lee ou de l’incarnation graphique de ce « moi » qui pourrait bien être l’auteure elle-même : Sim Heung-ah.
Fils de l’eau
Dans ce roman paru il y a déjà quelques mois aux éditions Philippe Picquier, Gu Byeong-mo confirme son talent de conteuse. Après le four d’un pâtissier-magicien dans « Les petits pains de la pleine lune »¹, l’auteur nous entraîne cette fois-ci dans le sillage d’un enfant-sirène avec Fils de l’eau.
KEULMADANG, N°1 – SÉOULIENNES
En 2009, quelques personnes se réunissaient autour d’un projet commun : faire découvrir la littérature coréenne en créant une revue de littérature en ligne. Ainsi naissait Keulmadang. Présente sur le web depuis plusieurs années, un premier numéro paraît enfin en librairie sous le titre de « Séouliennes ».
L’Ombre du vide
Nous vous présentons le 5ème volume de la collection Littératures de l’Atelier des Cahiers. C’est un plaisir esthétique de retrouver l’habituel petit format facile à transporter et le beau papier de la collection, surtout lorsqu’il s’agit de découvrir Park Ynhui, poète et philosophe coréen du XXème siècle.
Je veux aller dans cette île
A travers des épisodes pittoresques, Lim Chul-woo fait revire avec une immense tendresse le village de son enfance, une petite île au sud-ouest de la Corée.
Le tapir aux pas de velours
Dans la jungle de Malaisie, en marge de l’agitation créée par les éléphants, les rhinocéros, les calaos et les gibbons, Maman Tapir et son petit tapir courent partout: vont-ils réussir à échapper à la terrible panthère ?