Me créer ma place
Cela fait 28 ans que je me consacre à l’écriture.
Mes parents ont divorcé lorsque j’étais à l’école primaire. Au collège, j’ai eu des problèmes d’équilibre mental qui m’ont fait arrêter l’école. Pour mes 15 ans, je me suis fait expulser du lycée.
L’identité dans la littérature Zainichi
La littérature écrite par les Coréens résidant au Japon, ou Zainichi, débute lors de l’occupation forcée de la Corée par le Japon Impérial, et défie toute catégorisation.Parfois nommée « Zainichi Chosenjin Bungaku », l’appellation la plus courante au Japon est « Zainichi Bungaku » ou Littérature Zainichi.
À la recherche de l’esprit de l’auteur
Je suis né en Russie et fais partie de la troisième génération d’immigrés coréens. J’ai fait mes études dans des écoles russes, et ce n’est qu’avec mes parents que j’utilisais la langue coréenne à la maison.
La Corée sous le charme du podcast littéraire
Fort d’un succès qui ne se dément pas auprès des jeunes utilisateurs du smartphone, le podcast conquiert un public de plus en plus large en Corée du Sud.
Koryo-saram, la nostalgie et l’amour du hangeul
Depuis la fin de la dynastie Joseon, époque à laquelle des Coréens ont émigré vers le territoire russe de Primorsky Krai, la diaspora coréenne n’a cessé de se disperser au cours du XXe siècle.
Monsieur Papa et les 100 gouttes d’eau
Pour les plus jeunes, voici les aventures drôlatiques d’un papa éléphant attentionné. L’auteure, Noh In-kyung, est graphiste de formation et elle se consacre aujourd’hui à la création d’albums dont une dizaine est déjà parue en Corée.
Comme dans un conte
Le roman qu’on va lire est tout à fait singulier. Il réclame du lecteur deux qualités — deux vertus, plutôt ? — qui sont la patience et le goût de retrouver son âme d’enfant.
Interview Kim Kyung-uk
Grand conteur, Kim Kyung-uk restitue à partir d’une phrase, d’un article ou d’une trace de l’Histoire, les traits marquants de la société contemporaine à travers l’image diffusée par les médias.
VIVRE SANS POURQUOI
Vivre sans pourquoi représente sans doute le défi que l’homme doit relever jour après jour. Cet adverbe qui tend à rechercher un sens après-coup, surgi de la violence du non-savoir, inaugure à lui seul un programme intenable au quotidien.
Femmes de réconfort – Esclaves sexuelles de l’armée japonaise
« Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de « femme de réconfort » puisqu’il signifie quelque chose de chaleureux, de doux » témoigne une rescapée de l’enfer.

