EN CORÉE
Yoon-sun PARK se lance dans l’écriture d’un journal où se croisent ses souvenirs en Corée du Sud, son installation et sa vie en France.
Jimjilbang
Jérôme n’aime pas la Corée du Sud : les rues sont sales, les autochtones peu sympathiques et peu disposés à parler français, les restaurants sont des « bouis-bouis » sans saveur… Et que dire des Jimjilbang, ces saunas coréens où s’amoncellent des corps flasques suintants ?
Adulteland
À Séoul, un homme désespéré vend sa vessie pour ouvrir un bar. À Mokpo, petite ville portuaire, un bar branché, Adulteland, propose à ses clients un service pour le moins surprenant : discuter avec un cyborg, un être mi-machine mi-humain.
La faute
Ces dernières années, les reportages sur la Corée du Nord se sont multipliés. Du roman à la télévision en passant par la bande dessinée, nombre de médias ont jeté leur dévolu sur ce pays pour le moins énigmatique, dont la seule évocation suffit à ranimer le fantôme du stalinisme.
Je suis communiste
Après Fleur (Casterman, 2006) et Massacre au pont de No Gun Ri, Park Kun-woong signe chez Cambourakis un nouvel album-fleuve, au titre un tantinet provocant : Je suis communiste.
Histoires sur le bord du trottoir
Après l’œuvre de Oh Yeong-jin, déjà chroniquée dans nos colonnes, l’éditeur FLBLB accueille dans son catalogue un nouveau manhwaga : Lee Hee-jae. Un bédéiste de premier plan en Corée.
Spygames
La couverture annonce d’emblée la couleur: des militaires, armes aux poings et bien décidés à en découdre, s’entretuent dans une ville devenue un véritable champ de bataille. Les carcasses de voitures fument, les débris de verre voltigent, quelques civils tombent…
WOO-LEE ET MOI
La couverture, d’abord : une adolescente, raide comme un piquet et la moitié du visage mangée par ses lunettes, fixe le lecteur. Son identité nous est inconnue : s’agit-il de Woo-lee ou de l’incarnation graphique de ce « moi » qui pourrait bien être l’auteure elle-même : Sim Heung-ah.
Histoire d’un couple
Précaire, toujours en proie à des soucis d’argent, contraint à dessiner, pour le compte d’éditeurs peu scrupuleux, des travaux de commande sans grand intérêt, incapable de créer une œuvre et de s’affirmer en tant qu’auteur complet, tel est le quotidien de Hong Yeon-sik.
Les jumeaux
La couverture est déjà une énigme: écrasé sous une masse capillaire d’un noir de jais, un visage rond, comme tracé au compas, semble posé sur une forme cylindrique. Deux yeux, représentés par deux petits cercles blancs parfaitement symétriques sont disposés de chaque côté d’un nez rectiligne, perpendiculaire aux lignes horizontales que forment la bouche et le repli du menton.