Encouragez donc les garçons !
Dans une valse de longues tirades sur les futilités du quotidien, Eun Hee-kyung use des premiers émois chez deux lycéens pour évoquer le désir d’être vu dans une société aussi moderne que froide.
Fictions coréennes
La Corée, qui fut l’invité d’honneur du dernier Salon du Livre, rebaptisé Livre-Paris, produit une littérature dynamique. Ce recueil en propose un panorama attrayant.
Secrets
Huitième livre d’Eun Hee-kyung, Secrets traite des relations entre deux frères qui se retrouvent pour exécuter les dernières volontés de leur père. L’histoire est prétexte à la remémoration familiale et invite le lecteur à suivre l’évolution de la vie coréenne sur plusieurs générations.
FORUM LTI KOREA 2013 A AIX EN PROVENCE
Jeudi 24 octobre, 18H30 passées des quelques minutes laissées aux retardataires, le silence se fait à la Cité du Livre d’Aix-en-Provence. L’amphithéâtre de la Verrière est plein, le public fait face à trois auteurs coréens publiés récemment en France et spécialement rassemblés pour l’occasion.
Une vie désenchantée: l’auteur Eun Hee-kyung
Déjà bien connue du public français, Eun Hee-kyung réussit à chacun de ses livres à réactualiser son propos sans se départir de sa vision désenchantée de l’existence qui infuse profondément chacune de ses œuvres; une manière de se renouveler constamment tout en restant identique.
La voleuse de fraises
Après Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps?, Eun Hee-kyung nous revient, toujours dans la catégorie Micro-fictions chez Decrescenzo Editeurs, avec La voleuse de fraises. Auteure appréciée par le public français, les œuvres d’Eun Hee-kyung sont très attendues par ses lecteurs. Avec ce nouveau recueil, leur patience est récompensée.
Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps ?
Dans ce nouveau recueil, Eun Hee-kyung, auteure fétiche de Keul madang, poursuit son chemin d’exploration minutieuse et sans détours de l’âme coréenne contemporaine. Ces trois micro-fictions sont un miroir où la société coréenne se reflète en variations multiples, pour nous révéler finalement la décomposition avancée d’un modèle sociétal d’inspiration confucianiste qui a fait son temps.
Le cadeau de l’oiseau
Pour faire le portrait d’un oiseau, poème qui jaillit de nos souvenirs d’enfance lorsqu’il est écrit dans la préface, qu’Eun Hee-kyung a intitulé son roman Le Cadeau de l’Oiseau en hommage à un poème de Jacques Prévert. Avec l’accord implicite de l’auteur, le lecteur peut lui aussi à son tour, le référencer au poème de son choix.
L’écriture comme moyen de changer sa propre vie
RENCONTRE AVEC EUN HEE-KYUNG AIX-EN-PROVENCE 31-01-2012 En ce dernier jour de janvier, la neige s’est enfin décidée à tomber sur Aix-en-Provence. Le public…
EUN Hee-kyung – Écrire la solitude et l’aliénation
Nous avons rendez-vous dans le café le plus bruyant de Séoul, situé au-dessus de la librairie la plus bruyante de la ville, Kyobo. Dans ce café, qui abritent de fréquentes rencontres littéraires, on parle haut, on rit, on vit, peu importe le lieu dans lequel on est. L’agitation séoulienne est univoque, dans la rue ou au bistrot, toujours la même, à exprimer sa pulsion, oscillant entre vie et mort.