LE POÈTE KO UN À MARSEILLE
Vendredi 30 octobre 2015 étaient invités à la Vieille Charité à Marseille les amateurs de poésie, et surtout de poésie coréenne, pour une rencontre avec le poète Ko Un, à l’occasion de la sortie de ses deux derniers ouvrages traduits en français, Poèmes de l’Himalaya (Decrescenzo Éditeurs) et Fleurs de l’instant (Circé).
Rencontre avec Ko Un
Au dernier jour d’une semaine provençale, qui nous aura guidé de Sète à Avignon, de Fuveau au pied de la Sainte-Victoire, d’Aix à Arles, ce dernier jour, pas avant, au terme de longues conversations, dont chacune nous amenés au bord d’une conversation nouvelle, et parce qu’il fallait bien en retenir quelque chose, une empreinte, une date, un rendez-vous à venir, un jour, une autre fois, quelques questions laissées en suspens formant la trace de ces propos recueillis.
Une idylle à l’envers – Lecture croisée
« Do-Kil se fait mordre », idylle à l’envers, précisément décrit de façon ironique et amère l’autre côté d’une idylle dans une société qui n’est pas idyllique. Une idylle à l’envers, enfin, qui pourrait bien dénoncer l’aliénation de la femme et de la volonté dans la Corée confucéenne.
Dix mille vies: Écrire l’Homme
Il n’y a pas plus solitaire que l’acte d’écriture. Un stylo et une feuille, un clavier et un écran, l’auteur est seul face à lui-même. Et en écrivant son texte, son histoire, ses vers, c’est lui qui s’écrit.
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