Sept méandres pour une île
Sept chapitres (pour sept méandres) qui sont totalement indépendants les uns des autres. Il s’agit de tranches de vie — tranches car comme coupées, sectionnées— qui relatent des moments particuliers d’une existence humaine parmi d’autres, celle d’un homme.
Je suis encore là-bas
Quand le dessin se passerait presque du texte : d’un trait sans équivoque, Samir Dahmani expose les contradictions de la société de Corée du Sud dont les jeunes actifs sont les victimes, peut-être même les nouveaux sacrifiés.
EN CORÉE
Yoon-sun PARK se lance dans l’écriture d’un journal où se croisent ses souvenirs en Corée du Sud, son installation et sa vie en France.
Poétique de la soif
Choe Yun propose dans ce recueil de quatre nouvelles une vision critique de la société coréenne, en revenant plus particulièrement sur la période dite du « miracle économique ».
Fictions coréennes
La Corée, qui fut l’invité d’honneur du dernier Salon du Livre, rebaptisé Livre-Paris, produit une littérature dynamique. Ce recueil en propose un panorama attrayant.
Comment se passe ton été ?
Une mère et son fils vivent sur les hauteurs d’un village submergé par des pluies de mousson torrentielles. À être plus précis, il conviendrait de parler de « déluges », tant les averses, les orages et les inondations des fleuves s’associent pour engloutir le paysage aussi loin que s’étend l’horizon.
Ma mémoire assassine
Mémoire personnelle, mémoire collective, Kim Young-ha revient sur cette même propension à l’autojustification où l’amnésie est au service de la survie identitaire. Avec un humour grinçant, il met l’absurde au service du tragique, dans un style à la fois très personnel et quand même très coréen.
Monsieur Papa et les 100 gouttes d’eau
Pour les plus jeunes, voici les aventures drôlatiques d’un papa éléphant attentionné. L’auteure, Noh In-kyung, est graphiste de formation et elle se consacre aujourd’hui à la création d’albums dont une dizaine est déjà parue en Corée.
Du roman au drama et du drama au roman
Tout comme Hollywood est bien connu pour sa grande dépendance aux bestsellers pour dénicher des histoires intéressantes, nombre de dramas télévisés coréens puisent leur inspiration dans des œuvres littéraires.
WOO-LEE ET MOI
La couverture, d’abord : une adolescente, raide comme un piquet et la moitié du visage mangée par ses lunettes, fixe le lecteur. Son identité nous est inconnue : s’agit-il de Woo-lee ou de l’incarnation graphique de ce « moi » qui pourrait bien être l’auteure elle-même : Sim Heung-ah.