Celle que j’aimais conte l’histoire d’un amour absolu et atypique qui n’aurait jamais pu exister sans le concours d’une recherche d’emploi et d’un job somme toute cocasse. Les amoureux se cherchent, se trouvent, se perdent, se retrouvent sur fond d’une Corée du Sud rattrapée par la consommation de masse. Heureusement la musique est là pour adoucir les mœurs et pour ceux que le monde moderne effraie, ce roman bercé par les airs de Schubert et des Beatles est un plaidoyer pour l’amour et l’amitié.
Dans la vie comme dans ses romans, Park Min-kyu laisse libre cours à son imagination débridée. Auteur coréen iconoclaste, il défraie régulièrement la chronique et a reçu de nombreux prix littéraires.
CELLE QUE J’AIMAIS
PARK MIN-KYU
Traduit du coréen par HWANG Ji-young et Jean-Claude de CRESCENZO
Decrescenzo éditeurs, coll. Carré-Poche, 374 pages, 9 €.