Nocturne d’un chauffeur de taxi
Tel un vieux néon cassé, qui clignote dans la nuit d’une ville déserte, comme un signal de veille, voici un recueil qui se charge de nous rappeler que derrière l’éclat scintillant de la prospérité, la réalité ne s’éteindra jamais.
Le Quartier chinois
Voici un recueil de nouvelles dessinant des Corées légèrement différentes, vues par des enfants d’une dizaine d’années.
Le vieux journal
Lee Seung-U revient en France avec cette fois-ci, non pas un roman, mais pour la première fois un recueil de nouvelles. Même les plus grands auteurs semblent porter un intérêt à l’écriture de récits courts, genre très populaire en Corée. Autobiographie, fiction, Lee Seung-U a choisi de dresser ici une frontière nébuleuse entre ces deux catégories.
Ma vie dans la supérette
KIM Ae-ran, fugue ou variation, comment échapper au dérapage fatal ? Quatre nouvelles rassemblées sous ce titre, qui poursuivent le chemin narratif de l’auteure comme déroulant le fil dans un long labyrinthe. Sauf que le labyrinthe semble sans issue, hormis en rêve. Qu’en est-il donc de ce nouveau sort que nous jette Kim Ae-ran?
Bus errant
Recueil de nouvelles venant compléter La bibliothèque des instruments de musique, Bus errant nous emmène sur les traces de quatre protagonistes haut-en-couleur, détournant les codes et les sons d’une société à laquelle ils n’échappent pourtant pas.
Je suis un écrivain fantôme
Cet ouvrage composé de neuf nouvelles visite en des pays et des temps différents l’histoire d’hommes et de femmes sur le lieu de leurs malheurs.
La voleuse de fraises
Après Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps?, Eun Hee-kyung nous revient, toujours dans la catégorie Micro-fictions chez Decrescenzo Editeurs, avec La voleuse de fraises. Auteure appréciée par le public français, les œuvres d’Eun Hee-kyung sont très attendues par ses lecteurs. Avec ce nouveau recueil, leur patience est récompensée.
Qui a tendu un piège dans la pinède par une journée fleurie de printemps ?
Dans ce nouveau recueil, Eun Hee-kyung, auteure fétiche de Keul madang, poursuit son chemin d’exploration minutieuse et sans détours de l’âme coréenne contemporaine. Ces trois micro-fictions sont un miroir où la société coréenne se reflète en variations multiples, pour nous révéler finalement la décomposition avancée d’un modèle sociétal d’inspiration confucianiste qui a fait son temps.
LES CERISIERS DU JAPON
Sur la Corée du début du vingtième siècle, peu a été publié. La littérature coréenne traduite en français préfère habituellement les œuvres (pour ne pas dire les romans) qui à partir des années 60 interpellent la société contemporaine. On trouve bien sûr quelques recueils, notamment de poésie — on pense à Yi sang ou Kim Sowol — et des récits de voyage, dont certains, non sans une certaine littérarité, plongent le lecteur dans un sentiment mêlé de joie, de tendresse, voire de mélancolie.
Tableau de Sabbat
Une édition qui nous avait échappée et à qui il était temps de rendre hommage, tant la qualité éditoriale de ce joli livre, que par l’importance de l’œuvre qu’il présente.