ENTRE LITTÉRATURES
Comment pourrais-je discourir sur la littérature coréenne et la littérature française en général ? Je suis bien loin d’en savoir assez. A vrai dire, qui en saurait assez ? Mais surtout, de pareilles unités sont des fictions de mauvais aloi.
LE COMMENCEMENT DE TOUT
On dit que les gens emploient de manière générale 60 000 mots. Certains linguistes disent que l’être humain dispose d’une compétence linguistique innée, qui se révèle et lui permet de recourir au langage sans effort particulier conscient, de la même façon que poussent nos bras et nos jambes dans notre enfance.
TRADUIRE LA LITTÉRATURE CORÉENNE
Cet intitulé a un parfum de théorie qui me semble déplacé dans le contexte de ce colloque ; d’autant plus qu’il ne s’agirait dans…
Les rencontres du KLTI Aix, Arles et Avignon
Durant trois jours, dans des lieux et des circonstances bien différentes les unes des autres, les publics des villes d’Aix-en-Provence, d’Arles et d’Avignon…
MISE EN BOUCHE
de JO Kyung-ran Traduit du coréen par Kim Hui-yeon « La vengeance est un plat qui se mange froid »… La jeune et reconnue…
MILIEU ET HORIZON
Dans l’avant-propos d’Arts & cultures du lieu [Atelier des Cahiers, Séoul, 2007], nous écrivions que la poésie nous semblait l’expression privilégiée de ce que pouvait…
La générosité dans l’oeuvre de Hwang Sok-yong
Il est des auteurs dont le destin se confond avec celui de leur pays. Bien qu’érodé, le constat vaut pour l’œuvre de Hwang…
Le puits de mon âme
L’âme, un mot court rendu complexe par l’obscurité qui l’entoure. Un sujet où les interrogations livrent parfois des réponses ambigües, muettes, inaudibles. Ces…
Mise en bouche
« La vengeance est un plat qui se mange froid »… La jeune et reconnue chef Jung Jiwon, surnommé K, voit son irréprochable quotidien bouleversé,…
La route de Sampo
Hwang Sok-yong est né en 1943 en Mandchourie, où sa famille avait trouvé refuge pendant la colonisation japonaise. En 1945, sa famille s’installe…
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