Hwang Sok-yong, un écrivain en prise avec son temps.
Il est peu d’écrivains qui jouissent dans leur pays d’une renommée comparable à celle de Hwang Sok-yong : les tirages de ses livres,…
interview de Philippe Thiébault
JCDC: Comment expliquer que la Corée ait poussé plus loin que la Chine elle-même, la mise en oeuvre du confucianisme ? PT: La Corée…
Une interview de Kim Young-ha
Votre construction littéraire ressemble à un labyrinthe, dans lequel le lecteur ne risque t-il pas de se perdre ? Non, ce n’est pas…
Shin Kyung-sook, donner une voix à la délicatesse des âmes
Shin Kyung-sook a fidèlement répondu aux attentes de son statut d’écrivain. Elle a remis au goût du jour le côté authentique des…
EUN Hee-kyung – Écrire la solitude et l’aliénation
Nous avons rendez-vous dans le café le plus bruyant de Séoul, situé au-dessus de la librairie la plus bruyante de la ville, Kyobo. Dans ce café, qui abritent de fréquentes rencontres littéraires, on parle haut, on rit, on vit, peu importe le lieu dans lequel on est. L’agitation séoulienne est univoque, dans la rue ou au bistrot, toujours la même, à exprimer sa pulsion, oscillant entre vie et mort.
Un entretien avec Hwang Sok-yong
Les livres de Hwang Sok-yong ont, à maintes reprises, reflété le parcours et les péripéties de l’histoire coréenne moderne, depuis le développement à marche forcée décrit dans Les Terres étrangères, La Route de Sampo, aux souffrances de la lutte pour la démocratie exprimées dans Le Vieux Jardin.