Introduction à la littérature coréenne du XXe siècle.
À qui s’adresse cet ouvrage ? À un public étudiant certes, mais plus largement au public français friand de littérature coréenne
Regarde en haut !
Les éditions Rue du monde nous offrent toujours des merveilles d’albums. Voici un troisième titre coréen, de Jung Jin-ho, un auteur-illustrateur encore inconnu en France, à ne pas manquer encore une fois.
Féline
Dans ce joli roman, récemment réédité en poche chez Philippe Picquier, le héros et le narrateur est un chaton qui va, c’est original, choisir celle qui doit devenir sa compagne humaine.
Le voyage du pollen
Que la lecture fonctionne comme une respiration, on s’en doutait. Mais lorsque ce rythme est inscrit par une mise en texte aussi suggestive que dans cet album, la lecture à haute voix permet un moment de partage exceptionnel.
Jun Jung-sik et la bande dessinée autobiographique
Couleur de peau : miel, en trois tomes de bande dessinée et un film, est une œuvre importante sur la quête de soi, qui fera date dans l’histoire de l’adoption
Surprise !
Un album pour les tout-petits frais, gai et stimulant : Ae-Hee Jeon et Eun-Sook Jeong ont créé un ouvrage qui comptera dans les bibliothèques d’enfants, et les éditions Tourbillon le proposent à un tout petit prix aussi.
Géant !
Eh oui, certains enfants rêvent de devenir grands ! Le héros de cette fable par exemple. Il est prêt à tout, pour devenir le plus grand, le plus fort, un géant quoi ! Ouverte au monde, comme son personnage, la créativité de Seo Hyun dépasse les thématiques et les styles « coréens » pour une histoire à la portée universelle.
Le tigre mange-t-il de l’herbe ?
La curiosité et la soif de savoir des jeunes enfants seront comblées par cet ouvrage de deux auteurs coréens : jolie trouvaille de l’éditrice Marguerite Tiberti, pour sa collection de documentaires scientifiques pour les petits enfants qui compte déjà une dizaine de titres adaptés du coréen.
La Guerre des Ombres
Kim Jin-kyeong, auteur reconnu en France pour sa série L’Ecole des chats, entraîne le lecteur dans une aventure fantastique, haletante et inquiétante. Un roman à mi-chemin entre héroïc fantasy et roman noir où un étrange monde parallèle pénètre dans le monde réel.
Ma mémoire assassine
Mémoire personnelle, mémoire collective, Kim Young-ha revient sur cette même propension à l’autojustification où l’amnésie est au service de la survie identitaire. Avec un humour grinçant, il met l’absurde au service du tragique, dans un style à la fois très personnel et quand même très coréen.