Toujours plus à l’est
Un texte autobiographique, où la découverte est le moteur de la quête. Le voyage comme révélateur est une expérience partagée par les plus grands écrivains voyageurs.
Des flocons de neige rouge
Les éditions Bruno Doucey ont encore frappé. Après les poètes Moon Chung-hee et Mah Chong-gi, c’est au tour de Jin Eun-young d’être traduite et publiée dans un petit recueil coloré aux rayures diagonales.
Féline
Dans ce joli roman, récemment réédité en poche chez Philippe Picquier, le héros et le narrateur est un chaton qui va, c’est original, choisir celle qui doit devenir sa compagne humaine.
Fictions coréennes
La Corée, qui fut l’invité d’honneur du dernier Salon du Livre, rebaptisé Livre-Paris, produit une littérature dynamique. Ce recueil en propose un panorama attrayant.
Deux romanciers coréens d’aujourd’hui
Rencontre avec les écrivains Choi Jae-hoon et Kim Kyung-uk à l’occasion de la parution récente de leurs premiers romans : Le château du baron de Quirval et Comme dans un conte.
Le voyage du pollen
Que la lecture fonctionne comme une respiration, on s’en doutait. Mais lorsque ce rythme est inscrit par une mise en texte aussi suggestive que dans cet album, la lecture à haute voix permet un moment de partage exceptionnel.
Saisons d’exil
Un grand roman est un roman qui ouvre une porte sur l’inconnu. Une fois qu’on l’a lu, on a la conviction intime que quelque chose a changé autour de nous. Ou en nous.
Séoul/Port-au-Prince Revue MEET #19
Ce numéro 19 de la revue MEET propose pour thématique Séoul/Port-au-prince. L’occasion pour le lecteur de découvrir des extraits de littératures généralement peu connues du grand public.
Surprise !
Un album pour les tout-petits frais, gai et stimulant : Ae-Hee Jeon et Eun-Sook Jeong ont créé un ouvrage qui comptera dans les bibliothèques d’enfants, et les éditions Tourbillon le proposent à un tout petit prix aussi.
LE DÉSIR OU L’ENFER DE L’IDENTIQUE
Préfacé par Alain Badiou, ce livre peut être considéré comme la suite de La Société de la fatigue, du même auteur, Han Byung-chul. Dans cet ouvrage, l’auteur insiste sur le fait qu’il ne saurait y avoir de transformation sociale sans que soit mis à mal le rapport à l’autre.