Du roman au drama et du drama au roman
Tout comme Hollywood est bien connu pour sa grande dépendance aux bestsellers pour dénicher des histoires intéressantes, nombre de dramas télévisés coréens puisent leur inspiration dans des œuvres littéraires.
Choi Juhyun, une plume pour se souvenir
Choi Juhyun était invitée pour la 11è édition des Rencontres du 9ème art, festival de bande dessinée d’Aix-en-Provence. Plasticienne reconnue, Choi Juhyun pratique le dessin de façon très diversifiée, du théâtre d’ombres à la bande dessinée. Elle est l’auteur d’une œuvre toute personnelle, qui s’alimente aux sources de l’enfance.
Halmé
Dès la couverture de l’ouvrage, le décor est planté : des tumuli fleuris et arborés abritent les portraits des défunts, une pluie de fleurs duveteuses et douces, un tigre bondissant, et derrière, tout à fait à gauche de la 4ème de couverture, une grand-mère, vêtue du hanbok comme autrefois, qui lui ouvre les bras.
LE GUT, RITUEL CHAMANIQUE COREEN
Le chamanisme n’est pas une simple relique du passé, il est plus vivant que jamais. La compréhension de la pratique ancestrale du gut est un véritable voyage dans le cœur et l’esprit des arts coréens traditionnels
ARIRANG
Chérie par des générations de Coréens, emblème national, la chanson « Arirang » a connu différentes adaptations.
Le pansori, un art lyrique et littéraire
Le pansori s’inscrit dans la tradition universelle des grands récits de bardes et de conteurs. Une forme unique de narration chantée dont l’incroyable succès a garanti la pérennité.
Ciné-voyage en Corée du Nord
1958, entre Nouvelle Vague et “Rive gauche”, du temps de Sartre et Beauvoir, de Resnais et Godard, cinq hommes filment la Corée du Nord : le cinéaste-acteur Claude-Jean Bonnardot, le dramaturge Armand Gatti, l’écrivain et cinéaste Chris Marker, le chansonnier Francis Lemarque et le philosophe et journaliste Claude Lanzmann.
LES RATS DE MUSEE
D’étranges disparitions surviennent au musée Jeongno. L’ inspecteur Kim Jeong-su est chargé de faire le clair sur ces affaires: une enquête dans le milieu de l’art et dans les méandres de peintures abstraites…
WOO-LEE ET MOI
La couverture, d’abord : une adolescente, raide comme un piquet et la moitié du visage mangée par ses lunettes, fixe le lecteur. Son identité nous est inconnue : s’agit-il de Woo-lee ou de l’incarnation graphique de ce « moi » qui pourrait bien être l’auteure elle-même : Sim Heung-ah.
Histoire d’un couple
Précaire, toujours en proie à des soucis d’argent, contraint à dessiner, pour le compte d’éditeurs peu scrupuleux, des travaux de commande sans grand intérêt, incapable de créer une œuvre et de s’affirmer en tant qu’auteur complet, tel est le quotidien de Hong Yeon-sik.