Toutes les bonnes choses sont devant toi
Sous la plume du moine Seongjeon, le bouddhisme coréen devient synonyme de joie et de réconfort.
La pensée coréenne
A partir de l’héritage confucéen, taoïste et bouddhiste venu de Chine, les penseurs coréens ont élaboré une réflexion originale sur les différents aspects de la vie, alliant la spiritualité aux préoccupations d’ordre social et politique.
La mythologie coréenne
Les mythes coréens transmis oralement proviennent majoritairement de la tradition chamanique. Depuis l’antiquité, celle-ci a toujours été très présente en Corée.
Yi Hwang, Étude de la sagesse en dix diagrammes
Ce livre est la première traduction en français, avec annotations, d’un traité pratique de sagesse politique, intitulé Étude de la sagesse en dix diagrammes, écrit au XVIe siècle par Yi Hwang (1501-1570), qui est considéré comme le plus grand des confucianistes de Corée.
Promenades en dissimulation
Il y a dans la dissimulation et dans l’absence une force étrange qui contraint l’esprit à se tourner vers l’inaccessible et à sacrifier pour sa conquête tout ce qu’il possède.
Le grand roman de la Bible
Qu’est-ce qui rapproche Erri de Luca et Lee Seung-u, sinon, à première vue, une pratique régulière des textes bibliques.
LA SOCIÉTÉ DE LA TRANSPARENCE
L’auteur analyse comment la transparence structure tous les aspects de notre vie en nous imposant un choix : être visible ou être suspect.
LE DÉSIR OU L’ENFER DE L’IDENTIQUE
Préfacé par Alain Badiou, ce livre peut être considéré comme la suite de La Société de la fatigue, du même auteur, Han Byung-chul. Dans cet ouvrage, l’auteur insiste sur le fait qu’il ne saurait y avoir de transformation sociale sans que soit mis à mal le rapport à l’autre.
La Société de la fatigue
La Société de la fatigue de Han Byung-chul prolonge le livre majeur d’Alain Ehrenberg, La fatigue de soi, en développant la thèse selon laquelle notre société est passée de la répression par l’interdit à une société de la pleine positivité.
Déconstruction d’une image de Jésus
L’introduction du christianisme en Corée au XVIIIe siècle marqua une étape fondamentale de rupture identitaire du pays. Si les Coréens étaient parvenus à opérer un syncrétisme religieux, la reconversion de ce syncrétisme en un catholicisme sans partage fut à l’origine d’une nouvelle vision du monde et d’une nouvelle vision des rapports sociaux.