Un grain d’économie au royaume des fourmis
Dans une bande dessinée relatant l’histoire d’une fourmilière, sa reine et ses ouvrières, Museon-Headset vulgarise de manière créative et amusante les principaux mécanismes de l’économie.
Cocktail Sugar et autres nouvelles de Corée
Huit autrices sud-coréennes nous aident à comprendre leur société, du couple à la maternité en passant par le culte de la minceur et la solitude.
Propriétés physiques du sentiment
Sept histoires pleines de vaisseaux spatiaux, de créatures aliens et d’inventions scientifiques invraisemblables, à travers lesquelles Kim Cho-yeop parle de compréhension et d’acceptation de la différence.
K : Tout sur la popculture coréenne !
Pour satisfaire la soif de Corée des jeunes lecteurs, Mathieu Rocher publie un guide plein de couleurs et de fantaisie !
Si j’avais ton visage
Dans une Corée du Sud aux critères de beauté inatteignables et à la hiérarchie sociale immuable, cinq jeunes femmes essayent de se faire leur place.
La Corée du Nord et l’obsession nucléaire
Toutes les questions ou presque que l’on se pose sur la Corée du Nord, des plus fréquentes au plus inhabituelles, figurent dans ce livre tentant de comprendre la politique et le système Nord-Coréen, au milieu des influences internationales.
Un appel à la lecture et l’évasion : Promenades dans la littérature coréenne
Dans ce court essai, Jean-Claude de Crescenzo offre des clés de compréhension de la littérature coréenne contemporaine avec un grand L – une réflexion ouverte aux adeptes comme aux néophytes.
La Serre du bout du monde
Première traduction française d’une œuvre de Kim Cho-yeop, La Serre du bout du monde s’inscrit dans un mouvement à la popularité croissante dans la littérature de science-fiction : l’écoféminisme.
Promenades dans la littérature coréenne
Au gré de Promenades dans la littérature coréenne, Jean-Claude de Crescenzo offre une collection de réflexions sur les grandes thématiques de la littérature contemporaine, de l’ennemi intériorisé à l’esquisse du monde d’après.
Infocratie
Avec son nouvel essai, Han Byung-chul aborde les systèmes de domination et de contrôle exploitant une liberté illusoire fabriquée par le pouvoir de l’information.