Femmes de réconfort – Esclaves sexuelles de l’armée japonaise
« Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de « femme de réconfort » puisqu’il signifie quelque chose de chaleureux, de doux » témoigne une rescapée de l’enfer.
Adulteland
À Séoul, un homme désespéré vend sa vessie pour ouvrir un bar. À Mokpo, petite ville portuaire, un bar branché, Adulteland, propose à ses clients un service pour le moins surprenant : discuter avec un cyborg, un être mi-machine mi-humain.
La faute
Ces dernières années, les reportages sur la Corée du Nord se sont multipliés. Du roman à la télévision en passant par la bande dessinée, nombre de médias ont jeté leur dévolu sur ce pays pour le moins énigmatique, dont la seule évocation suffit à ranimer le fantôme du stalinisme.
Je suis communiste
Après Fleur (Casterman, 2006) et Massacre au pont de No Gun Ri, Park Kun-woong signe chez Cambourakis un nouvel album-fleuve, au titre un tantinet provocant : Je suis communiste.
Histoires de Kisaeng
La trilogie de Kim Dong-hwa, Histoires de Kisaeng, nous relate les affres de deux jeunes filles vendues à des courtisanes par leurs familles afin de les former au monde des Kisaengs.
Histoires sur le bord du trottoir
Après l’œuvre de Oh Yeong-jin, déjà chroniquée dans nos colonnes, l’éditeur FLBLB accueille dans son catalogue un nouveau manhwaga : Lee Hee-jae. Un bédéiste de premier plan en Corée.
Spygames
La couverture annonce d’emblée la couleur: des militaires, armes aux poings et bien décidés à en découdre, s’entretuent dans une ville devenue un véritable champ de bataille. Les carcasses de voitures fument, les débris de verre voltigent, quelques civils tombent…
Histoires de Tigres
Ahn Soo-gil est avec ses Histoires de Tigres le meilleur ambassadeur du majestueux félin. Il est aussi l’un des plus sûrs représentants de la bande dessinée documentaire coréenne, une plume nostalgique pour l’écologie.
Halmé
Dès la couverture de l’ouvrage, le décor est planté : des tumuli fleuris et arborés abritent les portraits des défunts, une pluie de fleurs duveteuses et douces, un tigre bondissant, et derrière, tout à fait à gauche de la 4ème de couverture, une grand-mère, vêtue du hanbok comme autrefois, qui lui ouvre les bras.
WOO-LEE ET MOI
La couverture, d’abord : une adolescente, raide comme un piquet et la moitié du visage mangée par ses lunettes, fixe le lecteur. Son identité nous est inconnue : s’agit-il de Woo-lee ou de l’incarnation graphique de ce « moi » qui pourrait bien être l’auteure elle-même : Sim Heung-ah.