Ramdam à tous les étages
Auteur de deux manhwas consacrés à la Corée du Nord (Le visiteur du Sud et Mission Pyongyang, édités chez FLBLB), Oh Yeong Jin est bien connu pour ses albums fortement politisés, abordant de front, mais non sans humour, l’idéologie liberticide du Nord.
Sous l’eau, l’obscurité
Une drôle de bande dessinée, un constat assez triste, désabusé, sur une enfance évanescente. Min-sun est la petite soeur de Min-ji, qui est la meilleure de sa classe et championne de natation. Il faut dire que sa maman surveille de près sa fille aînée: elle-même femme au foyer, elle est responsable de la réussite de ses enfants. Par ailleurs, elle passe beaucoup de temps à jouer en bourse.
Le manhwa en France : état des lieux
Si nos librairies sont certes moins fournies en manhwas qu’en mangas, force est d’admettre que la BD coréenne a su, ces dernières années, se faire une place, discrète mais réelle, dans le paysage éditorial français.
La relation manhwa/manga: entre influence et émancipation
Sortir le terme « manga » de son berceau géographique en l’appliquant aux œuvres coréennes (mais aussi chinoises) est un phénomène maintes fois observé.
La ruée vers le webtoon
Vers la fin des années 90, grâce à la démocratisation rapide du réseau Internet, le manhwa a pris d’assaut les supports émergents: les ordinateurs bien sûr, par la publication de planches sur des sites web personnels, mais aussi et surtout les téléphones mobiles.
Geonbae !
Il est évident que les alcools coréens ne sont guère, voire pas du tout, connus en France. Mais quelles sont, au fond, les raisons d’une telle ignorance ?
Le sacrifice d’une mère
Cet album de Jung Ji Hoon est à l’origine un webtoon, une BD coréenne numérique faite sur ordinateur et diffusée uniquement sur internet. Les éditions Kwari, fraîchement débarquées dans le paysage éditorial français, sont les premières à en proposer une version papier.