Le Postier
Comment lier la guerre de Corée, la victoire de l’amiral Lee Sun-shin et le tsunami du 26 décembre 2004 ? Quel rapport entre Le postier de Van Gogh et le goulag de Soljenitsyne ?
Celui qui garde ses rêves
Mah chong-gi est un poète coréen qui vit aux Etats-Unis depuis la fin des années 1960. Les poèmes du recueil Celui qui garde ses rêves sont ceux d’un exilé qui, né au Japon, parti en Corée très jeune puis en Amérique, est à la recherche de la stabilité et de la sécurité d’une patrie.
L’Ombre du vide
Nous vous présentons le 5ème volume de la collection Littératures de l’Atelier des Cahiers. C’est un plaisir esthétique de retrouver l’habituel petit format facile à transporter et le beau papier de la collection, surtout lorsqu’il s’agit de découvrir Park Ynhui, poète et philosophe coréen du XXème siècle.
Notre Rencontre
Septième volume de la collection Oriflammes des éditions Sombres Rets qui nous présente des poètes coréens, Notre rencontre de Kim Kyu-hwa nous entraine dans un monde poétique actuel qui, comme la Corée d’origine de l’auteure, cherche un équilibre entre tradition et modernité.
KIM SOWOL Un poète devenu légende
Nous sommes en 1902, sous un empire coréen qui subit une forte influence japonaise, qui va se transformer en protectorat, puis en annexion. Quelque part dans la province du Pyeonganbuk-do dans l’actuelle Corée du Nord, JANG Kyeong-suk donne naissance à un fils, Jeong-sik.
Aujourd’hui l’éternité
C’est à un prêtre français parti en mission pour la Corée à la fin des années 1950, Roger Leverrier, que nous devons la publication de ce recueil de poèmes. Devenu professeur quelques années plus tard, sa traduction de Ku Sang parue en 1988 aux éditions de La Différence est un hommage à la pensée extrême-orientale et à un pays qu’il n’a plus voulu quitter.
KIM Cho-hye – Mère
KIM Cho-hye dédie son recueil à cette personne unique aux côtés de laquelle tout le monde a vécu : la mère. A travers de courts poèmes présentés en version bilingue coréen/français, la figure de la mère prend forme.
Moon Chung-hee ou le courage d’être femme.
Cet automne paraissait aux éditions Bruno Doucey, un choix de poèmes de Moon Chung-hee , « Celle qui mangeait le riz froid ». Une publication qui n’est pas passée inaperçue…
Le seopyeonje de Ko Un
Il est des promesses qui exigent leur lot de patience, de souffrance parfois. Eternelles compagnes, elles ne tiennent nul compte de la signification qu’elles prennent au cours du temps, le temps donnant raison à leur existence, justifiant le titre de promesse, de n’être que promesses.
Rencontre avec Ko Un
Au dernier jour d’une semaine provençale, qui nous aura guidé de Sète à Avignon, de Fuveau au pied de la Sainte-Victoire, d’Aix à Arles, ce dernier jour, pas avant, au terme de longues conversations, dont chacune nous amenés au bord d’une conversation nouvelle, et parce qu’il fallait bien en retenir quelque chose, une empreinte, une date, un rendez-vous à venir, un jour, une autre fois, quelques questions laissées en suspens formant la trace de ces propos recueillis.