Le Problème Humain
Sous ses airs de romance historique, ce récit audacieux de Kang Kyeong-ae est un véritable appel à la lutte civile et à l’éveil des classes.
Une saison à l’atelier de poterie
Véritable promenade sensorielle, Une saison à l’atelier de poterie offre un agréable temps de pause et d’introspection à ses lecteurs.
Pars, le vent se lève
Dans son premier roman publié en France, aujourd’hui réédité, Han Kang mène une réflexion émouvante sur l’art et la mort, à travers l’enquête de Jeong Hee sur le suicide inexplicable de son amie In Ju.
Snowglobe
Lorsque Chobahm accepte une mission sordide au sein du dôme impénétrable Snowglobe, elle découvre les dérives dangereuses de la téléréalité que les caméras ne montrent pas.
Les Fantômes du manoir Janghwa
Dans ce drame fantastique aux allures très « Shining », des événements inexpliqués viennent perturber le quotidien de So Min-ji. Est-elle réellement seule dans ce manoir perdu dans les montagnes ?
De quel nuage tombe la pluie
Dans ce premier roman, Marion Gary nous fait voyager entre la France, la Corée et le Canada pour conter trois récits féminins qui se fondent en une expérience universelle, celle de la perte.
L’Arbre nu, Pak Wan-seo, Keum Suk Gendry-Kim
Une œuvre, L’arbre nu, deux autrices coréennes renommées, Pak Wan-seo, Keum Suk Gendry-Kim, et une lecture croisée qui explore l’œuvre originale et les choix opérés pour sa réécriture en roman graphique.
Un éclair bleu azur
Avec ce récit qui se concentre sur la réminiscence, comme si l’avenir était trop effrayant pour être imaginé, Kwon Yeo-sun ose une œuvre sérieuse qui s’écarte des voies ordinaires.
Moi moi
Après un accident de bus, les âmes de Ryu et Suri se voient séparées de leurs corps ; pour reprendre le contrôle de leurs vies, elles devront procéder à une longue introspection, et apprendre à connaître leur « moi » intérieur.
La petite échoppe des jours heureux
Dans une laverie en self-service ouvert 24h/24, les habitants de Yeonnam-dong se croisent à toute heure, ou choisissent de laisser leur trace dans un journal oublié à l’entrée. Avec ce premier roman, Kim Jiyun nous rappelle qu’une main tendue peut faire la différence.