Une journée dans la vie du romancier Gubo
Remercions l’Atelier des Cahiers pour la publication de cette œuvre majeure de la littérature des années 30, dans laquelle Park Taewon décrit ses déambulations de romancier dans les rues de Séoul sous l’occupation japonaise.
La déesse qui rêvait du ciel
De la guerre de Corée aux années Park Chung-hee, Crystal Hana Kim décrit la modernisation du pays à travers les espoirs, désillusions et regrets des membres d’une famille.
La fabuleuse laverie de Marigold
Dans la lignée des lectures feel good, Yun Jungeun se propose de laver vos âmes blessées et souvenirs douloureux à « La fabuleuse laverie de Marigold ». Un roman réconfortant qui n’oublie pas de nous rappeler qu’il ne suffit pas de supprimer le passé pour être heureux.
Une bonne fille
Dans son dernier roman, Hwang Jungeun propose une réflexion sur la famille, en interrogeant les dits, les non-dits, les relations, ainsi que le vécu de chacun de ses membres.
La Fiancée du dieu de la mer
Dans cette réécriture du conte traditionnel de Sim Cheong, Axie Oh nous plonge dans l’esprit de Mina, jeune fille vertueuse se sacrifiant à la mer pour venir en aide à ceux qu’elle aime.
L’ombre des armes
« Cela fait maintenant plus de 60 ans que la guerre de Corée s’est terminée, mais nous ne sommes toujours pas en mesure de comprendre ce conflit. » Cette réédition du roman de Hwang Sok-yong revient sur les conflits qui ont déchiré l’Asie du Sud-Est au XXe siècle.
Un bonheur parfait
Dans ce nouveau roman aussi excitant que malaisant, Jeong You-jeong brosse le portrait d’une perverse narcissique que rien n’arrêtera pour obtenir son « bonheur parfait ».
La Forêt des disparues
À travers l’enquête de Hwani, à la recherche de son père, inspecteur de police porté disparu, et de treize jeunes femmes disparues elles aussi, June Hur dresse un portrait intéressant de la dynastie Joseon du XVe siècle.
Le Cycle d’Imjin 2 – Notre peuple 우리 민족
Dans « Notre peuple », nous retrouvons Ha-neul et les autres survivants alors qu’ils continuent de faire face aux atrocités. Oscillant entre fiction captivante et objet de mémoire, ce deuxième tome d’une trilogie qui s’annonce déjà emblématique témoigne du travail titanesque d’Hélène Casado pour illustrer avec justesse un pan sanglant de l’histoire coréenne.
Si j’avais ton visage
Dans une Corée du Sud aux critères de beauté inatteignables et à la hiérarchie sociale immuable, cinq jeunes femmes essayent de se faire leur place.