La mythologie coréenne
Dans « La mythologie coréenne », Laurent Quisefit invite à un voyage fascinant à travers les récits fondateurs du pays du Matin Frais. Une lecture enrichissante et incontournable, aussi bien pour les passionnés que les néophytes.
Pleurer au supermarché
L’écriture de Michelle Zauner, sincère, crue et touchante par sa vulnérabilité, capture l’essence de la douleur du deuil en y mêlant une réflexion sur l’identité et la culture.
Le Grand Magasin des Rêves
Entre la veille et le sommeil, le conscient et le subconscient, Lee Mi-ye dessine le portrait d’une société coréenne en proie à l’insomnie, apprivoisant le rêve au fil des nuits.
La fabrique d’excuses
Dans ce roman aux accents camusiens, Lee Ki-ho oppose une critique à peine masquée à l’ingénierie sociale et la culture des excuses en Corée.
Dix petits meurtres
Avec Dix petits meurtres, Choi Jae-hoon offre le récit chaotique d’un courtier obsessif qui se découvre comme nouveau passe-temps de comprendre le schéma d’un tueur en série surnommé le « Coupeur de doigts ».
La terre qui erre
En septembre 1937, Staline commande le transfert en train des cent soixante-douze mille Coréens établis dans l’Extrême-Orient russe, pour les distinguer des opposants japonais. Avec « La terre qui erre », Kim Soom livre le récit bouleversant de l’exode forcé des passagers de l’un de ces wagons à bestiaux.