C’est l’heure où le monde s’agrandit
Il n’y a pas de poésie sans nostalgie ni hommage. Les onze poètes présentés dans cette anthologie n’ont pas oublié une histoire qu’ils n’ont pourtant pas vécue.
Rencontre avec Jean-Noël Juttet
Jean-Noël Juttet, ancien attaché à l’Ambassade de France à Séoul, co-traduit, avec Choi Mikyung, des ouvrages de littérature coréenne classique et contemporaine.
Mémoires d’un écrivain
Une mine d’or, voilà comment se présente Le Prisonnier, le dernier livre de Hwang Sok-yong.
10 ans déjà !
Juin 2009, de retour d’une journée France-Corée, épuisante mais particulièrement réussie, nous sommes cinq à reprendre nos esprits autour d’une bouteille de rosé…
Introduction à la littérature coréenne du XXe siècle.
À qui s’adresse cet ouvrage ? À un public étudiant certes, mais plus largement au public français friand de littérature coréenne
La Corée au Salon du livre
Depuis plusieurs années la Corée assied sa place sur la scène littéraire mondiale, comme en témoignent le nombre croissant de traductions et la présence d’éditeurs de littérature coréenne dans les événements internationaux.
KEULMADANG, N°1 – SÉOULIENNES
En 2009, quelques personnes se réunissaient autour d’un projet commun : faire découvrir la littérature coréenne en créant une revue de littérature en ligne. Ainsi naissait Keulmadang. Présente sur le web depuis plusieurs années, un premier numéro paraît enfin en librairie sous le titre de « Séouliennes ».
Ma vie dans la supérette
KIM Ae-ran, fugue ou variation, comment échapper au dérapage fatal ? Quatre nouvelles rassemblées sous ce titre, qui poursuivent le chemin narratif de l’auteure comme déroulant le fil dans un long labyrinthe. Sauf que le labyrinthe semble sans issue, hormis en rêve. Qu’en est-il donc de ce nouveau sort que nous jette Kim Ae-ran?
LA LITTERATURE COREENNE EN FRANCAIS
Si le nombre de livres coréens disponibles en langue française est en augmentation (au stock existant vient s’ajouter chaque année un nombre croissant de titres), il reste encore très modeste : lorsqu’on regarde la place occupée par la littérature coréenne sur les rayons des librairies françaises, celle-ci souffre de la comparaison avec ses voisines chinoise et plus encore japonaise[1].
FIGURE DE L’ENNEMI DANS LA JEUNE LITTERATURE COREENNE
Sauf à considérer que la littérature pourrait naître d’un désert social, nous avons fait nôtre, le point de vue de Johan Gottfried Herder[1] qui affirme, dans Une autre philosophie de l’histoire (1774) que :