Depuis que j’ai commencé à écrire, j’ai toujours eu de nombreux carnets de notes. On y trouve des premiers jets de romans (finis ou non), des notes sur des recherches, des mémos, souvent écrits à la hâte.
Qui n’a jamais rêvé de déployer ses ailes dans le ciel et d’oublier pour un instant sa misère ? Dans son roman L’Oiseau, Oh Jung-hi dépeint la vie de gens misérables et plongés dans la détresse.