Le ver à soie marqué d’un point noir
Les éditions Cheyne nous livre un recueil de poèmes bilingues de la poétesse coréenne RA Hee-Duk, publiée pour la première fois en France.
Des flocons de neige rouge
Les éditions Bruno Doucey ont encore frappé. Après les poètes Moon Chung-hee et Mah Chong-gi, c’est au tour de Jin Eun-young d’être traduite et publiée dans un petit recueil coloré aux rayures diagonales.
Dharma Poèmes
Dans ses poèmes, Park Je-chun s’applique à observer le monde en se libérant de tout attachement pour accéder à l’essence des choses.
Lueurs Poétiques
Chaque poème du recueil Lueurs Poétiques nous projette une image, qui une à une se rassemblent pour dépeindre le monde de Choi Keum-nyu. Un monde résolument moderne où se côtoient une nature délaissée et une technologie omniprésente.
India
India. Le titre est curieux pour de la poésie coréenne, intrigant. Le mandala doré sur la couverture ne laisse pas non plus de marbre. Le regard s’y pose, l’œil s’y perd. Nous voilà prêts pour un voyage en Orient.
Le Postier
Comment lier la guerre de Corée, la victoire de l’amiral Lee Sun-shin et le tsunami du 26 décembre 2004 ? Quel rapport entre Le postier de Van Gogh et le goulag de Soljenitsyne ?
Celui qui garde ses rêves
Mah chong-gi est un poète coréen qui vit aux Etats-Unis depuis la fin des années 1960. Les poèmes du recueil Celui qui garde ses rêves sont ceux d’un exilé qui, né au Japon, parti en Corée très jeune puis en Amérique, est à la recherche de la stabilité et de la sécurité d’une patrie.
L’Ombre du vide
Nous vous présentons le 5ème volume de la collection Littératures de l’Atelier des Cahiers. C’est un plaisir esthétique de retrouver l’habituel petit format facile à transporter et le beau papier de la collection, surtout lorsqu’il s’agit de découvrir Park Ynhui, poète et philosophe coréen du XXème siècle.
Notre Rencontre
Septième volume de la collection Oriflammes des éditions Sombres Rets qui nous présente des poètes coréens, Notre rencontre de Kim Kyu-hwa nous entraine dans un monde poétique actuel qui, comme la Corée d’origine de l’auteure, cherche un équilibre entre tradition et modernité.
Aujourd’hui l’éternité
C’est à un prêtre français parti en mission pour la Corée à la fin des années 1950, Roger Leverrier, que nous devons la publication de ce recueil de poèmes. Devenu professeur quelques années plus tard, sa traduction de Ku Sang parue en 1988 aux éditions de La Différence est un hommage à la pensée extrême-orientale et à un pays qu’il n’a plus voulu quitter.