Le voyage du pollen
Que la lecture fonctionne comme une respiration, on s’en doutait. Mais lorsque ce rythme est inscrit par une mise en texte aussi suggestive que dans cet album, la lecture à haute voix permet un moment de partage exceptionnel.
Jun Jung-sik et la bande dessinée autobiographique
Couleur de peau : miel, en trois tomes de bande dessinée et un film, est une œuvre importante sur la quête de soi, qui fera date dans l’histoire de l’adoption
Rencontre avec Yi In-seong
La conscience mise à nu.
Interview HAN Kang
Traverser la vie avec douleur et raffinement.
Surprise !
Un album pour les tout-petits frais, gai et stimulant : Ae-Hee Jeon et Eun-Sook Jeong ont créé un ouvrage qui comptera dans les bibliothèques d’enfants, et les éditions Tourbillon le proposent à un tout petit prix aussi.
LE DÉSIR OU L’ENFER DE L’IDENTIQUE
Préfacé par Alain Badiou, ce livre peut être considéré comme la suite de La Société de la fatigue, du même auteur, Han Byung-chul. Dans cet ouvrage, l’auteur insiste sur le fait qu’il ne saurait y avoir de transformation sociale sans que soit mis à mal le rapport à l’autre.
Géant !
Eh oui, certains enfants rêvent de devenir grands ! Le héros de cette fable par exemple. Il est prêt à tout, pour devenir le plus grand, le plus fort, un géant quoi ! Ouverte au monde, comme son personnage, la créativité de Seo Hyun dépasse les thématiques et les styles « coréens » pour une histoire à la portée universelle.
Le tigre mange-t-il de l’herbe ?
La curiosité et la soif de savoir des jeunes enfants seront comblées par cet ouvrage de deux auteurs coréens : jolie trouvaille de l’éditrice Marguerite Tiberti, pour sa collection de documentaires scientifiques pour les petits enfants qui compte déjà une dizaine de titres adaptés du coréen.
La Société de la fatigue
La Société de la fatigue de Han Byung-chul prolonge le livre majeur d’Alain Ehrenberg, La fatigue de soi, en développant la thèse selon laquelle notre société est passée de la répression par l’interdit à une société de la pleine positivité.
Interview KIM Ae-ran
Dans la culture coréenne, être ‘précoce’ est source de compliments. D’une part, être précoce veut dire « être plus mature que son âge », mais cela peut aussi signifier « être comme un adulte ». Même si l’appellatif « la petite jeune » a toujours suivi KIM Ae-ran qui recevait de nombreux prix prestigieux, les « adultes » se sont énervés quand ils ont entendu son nom.