Je suis encore là-bas
Quand le dessin se passerait presque du texte : d’un trait sans équivoque, Samir Dahmani expose les contradictions de la société de Corée du Sud dont les jeunes actifs sont les victimes, peut-être même les nouveaux sacrifiés.
Le goût du kimchi
Le goût du kimchi, c’est le goût de la vie, et Hong Yeon-sik la sert sur un plateau à ses lecteurs.
EN CORÉE
Yoon-sun PARK se lance dans l’écriture d’un journal où se croisent ses souvenirs en Corée du Sud, son installation et sa vie en France.
Jun Jung-sik et la bande dessinée autobiographique
Couleur de peau : miel, en trois tomes de bande dessinée et un film, est une œuvre importante sur la quête de soi, qui fera date dans l’histoire de l’adoption
JISEUL
En 250 pages d’un travail exécuté à l’encre de chine sur papier de riz, Keum Suk Gendry- Kim revient sur un épisode tragique et longtemps passé sous silence de l’histoire de Corée : le soulèvement de Jeju le 3 avril 1948.
Jimjilbang
Jérôme n’aime pas la Corée du Sud : les rues sont sales, les autochtones peu sympathiques et peu disposés à parler français, les restaurants sont des « bouis-bouis » sans saveur… Et que dire des Jimjilbang, ces saunas coréens où s’amoncellent des corps flasques suintants ?
Femmes de réconfort – Esclaves sexuelles de l’armée japonaise
« Plus que tout, je refuse catégoriquement le terme de « femme de réconfort » puisqu’il signifie quelque chose de chaleureux, de doux » témoigne une rescapée de l’enfer.
Adulteland
À Séoul, un homme désespéré vend sa vessie pour ouvrir un bar. À Mokpo, petite ville portuaire, un bar branché, Adulteland, propose à ses clients un service pour le moins surprenant : discuter avec un cyborg, un être mi-machine mi-humain.
La faute
Ces dernières années, les reportages sur la Corée du Nord se sont multipliés. Du roman à la télévision en passant par la bande dessinée, nombre de médias ont jeté leur dévolu sur ce pays pour le moins énigmatique, dont la seule évocation suffit à ranimer le fantôme du stalinisme.
Je suis communiste
Après Fleur (Casterman, 2006) et Massacre au pont de No Gun Ri, Park Kun-woong signe chez Cambourakis un nouvel album-fleuve, au titre un tantinet provocant : Je suis communiste.