Créatures du petit pays
« Créatures du petit pays » est une galerie de portraits à travers lesquels Kim Juhea dévoile tout un pan de l’histoire coréenne.
Bonne nuit maman
« Bonne nuit maman », le premier volet d’une trilogie horrifique, livre les clefs pour comprendre les criminologistes.
About Kim So-hee
Dans « About Kim Sohee », Jung July aborde la société coréenne par là où ça fait le plus mal : la recomposition sociale d’un pays lancé comme un bolide dans un capitalisme sans retenue.
Un instant sur la Terre
Dans cet album, la tendre Lim Seoha entraîne les enfants lecteurs dans un tournoyant voyage autour de la Terre.
Lapin maudit
Un lapin vengeur, une tête au fond des toilettes, un accident de voiture, un renard au sang d’or, un prince aveugle… À travers dix nouvelles pour le moins déroutantes, Chung Bora perturbe la scène littéraire contemporaine.
Les 30 meilleures façons d’assassiner son mari
En usant de tous les ressorts scénaristiques du polar qu’elle maîtrise parfaitement, Seo Mi-ae donne vie à des couples animés par la haine et la jalousie. Lorsque les personnages sont sur le point de perdre la vie, ou s’apprêtent à commettre l’irréparable eux-mêmes, une part du lecteur ne peut s’empêcher de penser : « Et moi, que ferais-je dans une telle situation ? »
L’incroyable Mademoiselle Bang
Avec L’incroyable Mademoiselle Bang, revoilà l’incroyable verve de Park Yoon-sun, qui nous fait découvrir le destin exceptionnel d’une héroïne coréenne !
Et toi…
Lettre du souvenir, lettre d’amour à son pays, à la littérature, à l’amitié… en à peine deux pages et demie, la lettre retrace une partie de l’histoire coréenne sous l’ère japonaise et expose au grand jour la poésie de Kwak Hyo-hwan.
Dungeon Reset
Du jour au lendemain, Dawoon se retrouve coincé dans un jeu vidéo ultraviolent, dont les règles lui sont expliquées par un lapin qui veut sa mort. Grâce à un bug, Dawoon revient à la vie dès qu’il perd le jeu, et essaye de survivre en apprenant de ses erreurs.
La fabrique d’excuses
Dans ce roman aux accents camusiens, Lee Ki-ho oppose une critique à peine masquée à l’ingénierie sociale et la culture des excuses en Corée.










