Dark Moon: The Blood Altar
Dans cette fiction basée sur la narrative du groupe de K-pop Enhypen, la jeune Sooha intègre l’académie Decelis et se lie sans le savoir à sept vampires… alors qu’elle déteste ces créatures plus que tout.
Parasyte: The Grey
Sur fond d’invasion alien, Parasyte: The Grey, la nouvelle sensation Netflix, ne se contente pas d’opposer humains et envahisseurs, mais tisse également une réflexion plus large sur la communauté, l’altérité, la normalité et la solitude.
Un bonheur parfait
Dans ce nouveau roman aussi excitant que malaisant, Jeong You-jeong brosse le portrait d’une perverse narcissique que rien n’arrêtera pour obtenir son « bonheur parfait ».
A Business Proposal
Une série de quiproquos amène la pétillante Shin Hari à remplacer sa meilleure amie lors d’un rendez-vous arrangé. Mais voilà, elle ne s’attendait pas à se retrouver face à son patron, et encore moins à ce qu’il la demande en mariage !
Interview
de Jean-Claude de Crescenzo, à l’occasion de ses deux récentes parutions.
Celui qui revient
Dans ce roman à plusieurs voix centré sur les événements du massacre de Gwangju en 1980, Han Kang rend hommage aux martyrs de la démocratie, à ceux partis, et ceux qui restent.
Questions internationales n°123 : Les deux Corées
Un dossier inédit et passionnant Pour la première fois, Questions internationales consacre un dossier complet aux deux Corées. Après un conflit sanglant (1950-1953)…
« Wife », de (G)I-DLE : S’affranchir du rôle traditionnel de l’épouse
Dans la lignée de leurs albums précédents, (G)I-DLE prouvent une nouvelle fois qu’elles sont en tête d’une révolution féminine dans la K-Pop, en s’attaquant cette fois-ci au rôle traditionnel de l’épouse coréenne avec leur chanson « Wife ».
Promenades dans la littérature coréenne
Au gré de Promenades dans la littérature coréenne, Jean-Claude de Crescenzo offre une collection de réflexions sur les grandes thématiques de la littérature contemporaine, de l’ennemi intériorisé à l’esquisse du monde d’après.
Résidence Saha
Avec ce thriller dystopique, Cho Nam-joo signe une critique sociétale bien différente de « Kim Jiyoung, née en 1982 » et explore avec réalisme le désespoir des habitants de l’insalubre « Résidence Saha ».