Sous la plume hollywoodienne de Ian Manook, l’enlèvement d’une touriste française à Séoul déclenche une guerre de pouvoir entre les mafias locales.
À travers des descriptions presque aussi répugnantes qu’appétissantes, Monika Kim laisse libre court à sa fureur et nous entraîne dans le tourbillon des désirs inavouables dont Ji-won ne parvient pas à s’extirper.
Loin d’être une simple histoire, le récit des amours de Chunhyang et Mongnyong s’inscrit dans le paysage littéraire coréen comme un véritable mythe.
Dernier volume paru d’une trilogie consacrée à la guerre de Corée et ses séquelles, ce roman de Pak Wan-seo apparaît comme un îlot sur lequel peuvent accoster les amoureux d’une littérature qui n’a pas concédé à l’air du temps.
Une œuvre, L’arbre nu, deux autrices coréennes renommées, Pak Wan-seo, Keum Suk Gendry-Kim, et une lecture croisée qui explore l’œuvre originale et les choix opérés pour sa réécriture en roman graphique.
Véritable média de front de la culture coréenne, le drama s’est établi dans le cœur des téléspectateurs grâce à une structure narrative souvent bien reconnaissable, qui n’est pas sans rappeler les romans de l’autrice anglaise Jane Austen…