Je veux mourir, mais je mangerais bien du tteokbokki
Dans une retranscription de douze séances de thérapie, Baek Sehee se livre sur son anxiété, ses attentes et sa difficulté à naviguer les relations humaines.
Entre littérature dystopique et poésie utopique
« Entre littérature dystopique et poésie utopique » : une conférence de Jean-Claude de Crescenzo, récipiendaire du 14e Prix de Littérature KC Changwon.
Seule la mort attend la vilaine
Qui n’a jamais rêvé de plonger dans son roman ou jeu favori ? Une jeune fille maltraitée par sa famille se retrouve projetée dans un jeu de romance, mais surprise ! Elle se réveille dans la peau de la méchante de l’histoire, Pénélope Eckhart.
Lapin maudit
Un lapin vengeur, une tête au fond des toilettes, un accident de voiture, un renard au sang d’or, un prince aveugle… À travers dix nouvelles pour le moins déroutantes, Chung Bora perturbe la scène littéraire contemporaine.
Par une nuit claire
Le polar historique « Par une nuit claire » relate les enquête d’une médecin légiste, A-ran, déterminée à résoudre les meurtres qui se multiplient dans le royaume de Joseon.
La secte des suicidés
Décidé à mourir, Kim Tae-seong rejoint un club de déprimés qui prévoient de se donner la mort ensemble. Seulement voilà, le meurtre, ce n’était pas dans les règles.
Chamane Hyesu et son ange Haesu
Haesu s’est levé tôt, comme d’habitude. Il a pris sa douche, s’est brossé les dents. Il a mis son manteau sobre et élégant,…
C’est pour mieux te manger
Un soir d’hiver, un feu se déclare près d’un petit village de campagne. Une maison est complètement calcinée. Deux morts, une survivante. Tragique accident ou acte prémédité ? Les suspects sont nombreux, peut-être bien parce que personne n’est réellement innocent. Prenez-garde à qui pourrait vous manger tout cru.
L’exil chez Chang Kang-myoung
Par le portrait d' »Hell Joseon » dépeint dans son œuvre, Chang Kang-myoung nous pousse à réfléchir sur le désir d’exil : fuir permet-il de se détacher du mal-être ?
Encouragez donc les garçons !
Dans une valse de longues tirades sur les futilités du quotidien, Eun Hee-kyung use des premiers émois chez deux lycéens pour évoquer le désir d’être vu dans une société aussi moderne que froide.