Entre littérature dystopique et poésie utopique
« Entre littérature dystopique et poésie utopique » : une conférence de Jean-Claude de Crescenzo, récipiendaire du 14e Prix de Littérature KC Changwon.
Impossibles adieux
Il faudra dans ce roman sinuer entre cauchemar et réalité, neige et pluie, hôpital et maison isolée dans la montagne et vous habituer à n’être comme la narratrice sûr de rien.
Parce que la nuit
« Parce que la nuit » de Chloé Thomas est une belle dissertation sur l’insomnie qu’éprouvent bon nombre de nos concitoyens et parmi eux quelques écrivains se félicitent d’y avoir vécu le meilleur et le pire d’eux-mêmes.
L’art du cinéma coréen
Le cinéma coréen, devenu l’un des cinémas étrangers les plus populaires, a ses aficionados et ses critiques. Le livre d’Antoine Coppola dresse le portrait d’une production sans pareille et analyse en spécialiste films et dramas à succès.
État des lieux
De retour dans son pays natal Eumjae part à la recherche de traces, de bouts d’existence, à travers des photographies aussi floues que ses souvenirs. Il en résulte un petit album dans lequel la quête de l’auteure nous entraîne dans un dédale de signes.
Une introduction à l’œuvre de Lee Seung-u
Une première interprétation des symboles et thématiques de l’œuvre de Lee Seung-u à travers ses textes traduits en français.
Dans une région obscure
Les éditions Philippe Doucey délivre à nouveau un joli recueil d’un poète qu’il faut absolument découvrir, Eom Won-tae.
Lee Seung-u au MEET de Saint-Nazaire
En novembre 2015, Lee Seung-u participait au 13ème meeting « Traduire la vie » de la Maison des Écrivains Étrangers et des Traducteurs (MEET) à Saint-Nazaire.
Lemon
Dans « Lemon », Kwon Yeo-sun bouleverse les formes de narration traditionnelle, laissant ses personnages dans une profonde solitude face à un drame qui restera non résolu.
Voyage de la mortification, Lee Seung-u : à propos du roman Le Chant de la terre
Version originale et traduction française d’un article de Jean-Claude De Crescenzo à propos du roman « Le Chant de la Terre » de Lee Seung-U.