La Reine d’Itaewon
Dans « La Reine d’Itaewon » Anna, une jeune femme fatiguée de son quotidien, décide de trouver du changement à l’autre bout du monde. Elle découvre alors un côté de Séoul que peu de gens connaissent.
L’Homme de Corée
S’inspirant d’un dessin de Pierre Paul Rubens, Jeon Kyeong-il s’amuse à créer une vie et des aventures épiques à travers l’Asie et l’Europe à cet « Homme de Corée ».
Amande
Le roman « Amande » fait s’opposer deux personnages qui sont l’antithèse l’un de l’autre : un garçon qui ne ressent rien, et un garçon qui ne contrôle pas ses excès de colère. Pourtant, une amitié naît entre ces deux personnes, et leur permet de comprendre un peu plus le monde qui les entoure.
L’ours très très câlin
Un gros câlin est aussi réconfortant qu’un bon chocolat chaud : c’est le message de cet ours merveilleux, imaginé par Park Jee-Hyeon !
La nuit du hibou
Dans ce roman d’épouvante, Pyun Hye-young enferme son personnage au beau milieu d’une forêt glaçante qui devient le symbole de son propre esprit, torturé et terrifiant…
Écrits du silence
À travers ses mémoires, la reine coréenne appelée Dame Hyegyeong retrace son enfance, son entrée au palais et les années difficiles durant lesquelles elle dû se battre pour y garder sa place.
Le Gambit du Renard
Dans ce roman de science fiction, Lee Yoon-ha explore les conséquences que le développement de la technologie pourrait avoir sur l’humanité, notamment aux mains d’un gouvernement dictatorial prêt à tout pour rester au pouvoir.
La saison des pluies
Somptueuse nature que celle qui naît sous la plume lyrique de l’artiste Keum Suk Gendry-Kim, et tendres portraits de ses chiens, dans ce magnifique nouveau roman graphique.
Bonobo
Une rencontre imprévue dans une situation déroutante entre deux âmes en souffrance, c’est le cadre qu’a choisi Jeong You-jeong dans ce roman rempli de délicatesse et de profondeur.
Voyage à Cantant
« Voyage à Cantant » est un voyage symbolique bouleversant qui plaira aux atypiques en quête de discrétion et aux artistes angoissés qui ne sont libres d’exister que dans la pénombre de leur propre chambre.